JDR deuxième, c'est parti!

Avant que le capitaine n'ait pu répondre à Farnis, une deuxième vague de peaux-vertes partit à l'assaut... Les gobelins étaient toujours aussi nombreux, mais à présent, de nombreux individus plus corpulents armés de longs cimeteres s'avancaient en tailladant aussi bien leurs alliés que leurs ennemis!

"Repoussez les!" hurla le gradé tout en se lançant à l'assaut des gobelins...

Tandis que les défenseurs chargeaient, les gobelinoïdes enfoncèrent les défenseurs des flancs, massacrant les défenseurs des remparts et se ruant à travers la ruelle de droite...

Dans un grand choc, les deux lignes se rencontrèrent...

[Lorsque les deux lignes se rencontrèrent, Olaf se retrouve face à un gobelin armé d'une grande hache. Il feinta à l'épaule avec son épée et taillada la jambe de son adversaire avec le couperet. Sa feinte ayant échouer, il para la hache adverse avec ses deux armes, mis un coup de tête au gobelin, et profita que celui-ci était déstabilisé pour lui enfoncer son épée dans le corps.
Une fois son adversaire au sol, il se jeta au coeur de la mélée, hachant des ses deux lames.]

[Autour de lui, Eothaine voyait les miliciens mourrir un à un. Il se battait avec le plus de rage qu'il pouvait quand il aperçut un gobelin plus grand que les autres et plus fort. Le Rohirrim prit un de ses javelots et provoqua ce nouvel adversaire. Il utilisait son arme de jet au corps à corps afin de garder une distance respectable entre lui et son ennemi et de le toucher en craignant moins les coups d'épée du grand gobelin...]

[Gurdil partit à l'assaut avec les forces humaines qui l'accompagnaient. Il choisit un adversaire armé d'un cimeterre et l'attaqua aux genoux.]

*Les deux lignes se rencontrèrent avec un fracas époustouflant...*

Percé de toutes parts sous la grèle de coups, un gobelin s'écrasa au sol devant Olaf qui allait toujouurs de l'avant; non loin de la, Eothaine était aux prises avec un imposant peau-verte qui tentait de séparer sa tête du reste de son corps à coup de hache, ce fesant, il fut trahi par son élan et s'empala sur la lance du rohirim, non sans briser cette dernière en tombant, laissant Eothaine avec un bout de bois dans les mains...

Au coeur de la melée, le capitaine Loken était tel un tourbillon carmin qui déversait sa rage sur ses ennemis, à ses côtés, Farnis fut aissailli par deux gobelins solidement batîs, ayant fendu l'un deux de l'aine au sternum, il était encore en train de dégager sa lame lorsque le second ennemi le chargea en abaissant brutalement sa hache vers le crâne de gondorien... mais c'était sans compter sur Gurdil qui le stoppa net dans sa course en lui tranchant la jambe droite, le finissant d'un coup de hache dans le torse.

Partout, des défenseurs tombaient, les archers étaient presque tous morts et l'ennemi tenait à présent les portes...mais pour chaque milicien mort, deux ennemis tombaient avec lui.

A présent que l'assaut faiblissait, Loken tourna son regard vers la rue de droite.

"Il se dirigent vers l'auberge!"

"Sven! Repoussez les et reprenez la porte!"

Se tournant à présent vers nos aventuriers... "Suivez-moi, profitont de ce répit pour poursuivre les pillards avant qu'ils n'atteignent l'établissement de mon frère!"

[Gurdil suivit le capitaine jusqu'a l'auberge...]

[Eothaine se remettait à peine de l'affrontement contre cet orque et laissa tomber le bout de hampe de son javelot brisé pour dégainer sa hache. Il accourut vers l'auberge, suivant le brave capitaine Loken et Gurdil qui malgré sa détermination, peinait à aller plus vite à cause de ses petites jambes.]

[Olaf courru après le capitaine.
Il rattrapa ses compagnons peu avant d'arriver à destination.]

[Farniss remercia le nain tout en posant une main sur l'épaule de son compagnon avant de se lancer à la suite du capitaine.]

Partout, des hommes se battaient, des maisons brulaient et on pouvait voir par endroit des colonnes de femmes et d'enfants fuir avec le peu de bien qu'elles avaient pu sauver pour se mettre à l'abri des assauts goblinoïdes...

Arrivés devant l'auberge du village, nos amis constatèrent que la porte était enfoncé et que de la fumée s'élevait de certaines fenêtres.

Pénétrant à l'intérieur, ils assistèrent à un spectacle écoeurant... un gobelin, visiblement gradé ouspillait ses soldats qui rassemblaient les occupants de l'auberge et les enchainaient dans le but de les ramener comme butin.


"Gorb! N'essaye pas de le mordre! Notre seigneur les veux vivants et entiers, même les enfants!"

Visiblement agacé, le gobelin visé lacha l'enfant qu'il tenait et fit mine de s'en aller vers l'escalier; puis il sauta d'un bond sur un vieil homme qu'il éventra d'un coup de couperet.

"IMBECILE CRASSEUX!!" hurla le chef tout en bondissant sur l'autre goblein tandis que les humeurs de l'homme se répendaient à terre.

"Bah, il était vieux... et puis j'ai faim! Pas vous les gars?"lacha nonchalament Gorb à l'adresse de ses compagnons, lesquels ne se firent pas prier pour se lancer sur le festin.

"ARRETEZ!INCAPABLES!JE VAIS VOUS TANNER LE CUIR!" hurla le chef tout en produisant un fouet de ses fontes.


"On dérange?" lacha sur un ton sec et ferme le capitaine Loken tout en pointant son épée vers le gobelin.

"Des hommes!Capturez-les!" hurla le gradé.

Sans crier gare, plusieurs gobelins se lancèrent épée en avant vers nos amis, d'autres empoignant leurs arcs tout en courant vers les escaliers.

[Gurdil saisit sa hache à deux deux mains et partit vers le gobelins. Arrivé près d'un de ces monstres , il lui asséna un coup a la ,poitrine.]

Oh bordel! Juste quand ça allait un peu mieux.

[Olaf se jeta en avant. Ecartant une épée ennemi du couperet, il lui trancha l'épaule avec l'épée. Arrivé devant un deuxième, il feinta à la main, fit une parade en croix pour désarmer l'éadversaire et l'acheva d'une fente entre les yeux. Il poursuivit ainsi son oeuvre de mort parmi ses adversaires.]

[Eothaine entra dans une rage folle. Voir ce spectacle lui rappelait tout son village décimé par des orques il y a environ trois ans de cela. Il prit sa hache à long manche et s'élança. Il frappait de taille tout adversaire qui s'approchait, ne prenant pas garde à ses défenses.]

Dans un tintamre métallique, les mercenaires et gobelins taillaient à présent dans le vif...

Lançant sa hache vers un gobelin hargneux, Gurdil manqua d'allonge et planta sa hache dans le plancher tandis que son ennemi sautait de côté tout en se fendant vers les côtes du nain avec sa dague rouillée...

Forçant le passage, Olaf fit face à deux gobelins qui se lancèrent sur lui... ne se démontant pas, l'homme tendit son épée sur laquelle vint s'empaler l'un des peaux-vertes; se faufilant, le deuxième monstre s'apprêtait à tailler les mollets du Dallote mais finit décapité nettement par l'inflexible Farnis...

Tel un tirailleur, Eothaine taillait de tout côté dans les flancs de ses ennemis, submergé par la haine, il trancha dans son élan les jambes d'un gobelin qui le chargeait puis fit volte-face pour fendre en deux le crâne d'un deuxième ennemi; toujours alerte, il arracha à temps la hache du corps inerte pour réduire en pulpe le nez d'un troisème gobelinoïde sournois qui avait cru pouvoir l'égorger... Partout ou le rohirrim avançait, des corps verdatres tombaient au sol, ses compagnons se chargeant de couvrir ses flancs exposés...

Pour sa part, si on pouvait l'entendre éructer, le capitaine restait cependant invisible...


"Vous...arghf... vos têtes ornerons ma ceinture!" grogna le contremaître gobelin en fesant face au quatuor qu'il invectivait à grands claquements de fouets!

[La sueur dégoulinait sur le front du Rohirrim et lui allait jusque dans les yeux. Eothaine ne s'arrêta qu'une dizaine de secondes, regardant dans le blanc des yeux le chef gobelin. Il prit alors une de ses haches de jet et la lança dans la direction de la créature avant de reprendre son arme de corps à corps. Cependant, Eothaine commençait à fatiguer et ses sens devenaient de moins en moins alertes.]

[Olaf remercia Farnis d'un signe de tête, puis continua à hacher les gobelins, se dirigeant vers leur chef.]

[Gurdil esquiva le coup du gobelin avant de lui porter une attaque au genoux pour le déséquilibrer.]

HS: Et qu'en est-il de Farnis? On ne l'a plus vu depuis quelques temps...

[Farnis se dirigea vers les escaliers de l'auberge afin d'y déloger les archers gobelins qui s'y étaient abrités.]

HS : oui, désolé .

HS: Désolé pour cette petite abscence... PS3, quand tu nous tiens...!


Voyant qu'ils n'auraient surement pas le loisir d'emmener leurs otages, les gobelins se mirent à déguerpir... repoussés par Farnis, les archers ne pouvaient plus soutenir les leurs qui se fesaient proprement découpés par les compagnons déchainés...

Au milieu des ennemis déconfits, un cri à fendre l'âme se fit alors entendre; les aventuriers voulurent en connaitre la source mais se trouvaient toujours devant un problème de taille qui agitait son fouet en hurlant à ses soldats de revenir.


"VOUS!!! Vous avez tout fait rater! Mourrez!!!" s'égosilla le chef gobelin tout en chargeant.


Avant même que le pauvre ne put s'en rendre compte, Eothaine vida violement ses poumons lorsqu'il reçu la tête casquée du gobelin dans le ventre; se relevant plus rapidement qu'il ne semblait possible, la créature montra les crocs à Olaf avant de faire claquer sa lanière de cuir.

Cette dernière vint alors s'accrocher au manche de la hache du nain, qui, ne souhaitant se departir de son arme fut dès lors emporté à proximité du gobelin, ce dernier fesant claquer ses machoires pour tenter d'arracher au passage le nez de Gurdil.

"Je vais m'amuser en t'écorchant, barbe sur patte!" ironisa-t-il...

Au milieu des archers morts, Farnis rester hors de vue et de portée de l'ignoble berserk.

"Essaie toujours, maudit gobelin et je te couine."

[Gurdil esquiva le coup et partit à la droite du gobelin pour lui mettre un coup sur la jambe afin de le déséquilibrer.]

[Eothaine se remettait de ses émotions tant bien que mal. Sa vue était quelque peu brouillée mais il recouvrit aisément ses sens, du moins à son avis. Il réafirma sa prise sur sa hache à long manche avant de s'élancer sur le berserk. Gurdil l'avait déjà sûrement bien amoché et Eothaine espérait enfonçait encore plus le couteau dans la plaie...]